Et voilà qu’arrive début février la description de mon projet garde-robe capsule 2017 du mois d’octobre 🙂 Débuté en octobre, je l’ai terminé juste après Noël, et photographié la semaine dernière.
A la fin du printemps j’étais motivée pour compléter la garde-robe de ma fille avec du fait-main, afin qu’elle aie tout ce qu’il faut pour l’été. J’ai fait le point sur ce qui manquait, sachant que des robes de l’été dernier allaient encore, ainsi que d’autres vêtements des mois précédents.
Bon, j’ai fait chou blanc sur plusieurs projets, comme je l’évoquais plusieurs fois sur Instagram (mais pas encore ici). C’est-à-dire que la demoiselle n’a pas porté beaucoup des coutures en question, sachant qu’avant de coudre je validais quand même le projet avec elle, et que parfois même j’ai répondu à une demande.
J’ai déjà dû écrire un jour quelque chose à propos de mon affection pour les tissus japonais Nani Iro. Les motifs sont ceux de Naomi Ito, à partir des aquarelles de cette artiste. Pour moi c’est presque comme pouvoir s’habiller de tableaux… Mes préférés sont forcément ceux à fleurs, et pour certains motifs dans certaines couleurs, je peux vous dire que c’est quasiment de l’amour ^^ (voir ici les articles où j’ai utilisé ces tissus).
Mes motifs préférés sont « Fuccra : rakuen » et « Komorebi », mais j’ai aussi un faible pour Pierre Pocho, qu’on ne trouve plus trop, et qui représentait des pois irréguliers, en forme de galets… J’en ai fait une robe pour ma fille l’année dernière, j’ai aimé chaque instant où elle l’a porté 🙂
Je vous invite à aller rêver comme moi devant cette image de la collection 2017, ou sur mon tableau Pinterest dédié (bien que pas très fourni…).
On trouve ces tissus principalement en double gaze, mais sont aussi édités des satins, des lins, des coton/lin, et des matelassés (on trouve parfois d’autres choses encore, comme du jersey). C’est pour ce dernier (le matelassé) que j’ai craqué cet hiver. Disons que j’ai tourné la chose dans mon esprit jusqu’à trouver un prétexte valable pour l’acheter. Et ma raison valable, c’était d’en faire une veste de mi-saison pour ma fille.
Je voulais une veste à capuche, qui donne un aspect un peu ample et structuré avec le matelassé. Je suis partie sur la veste Nituna de Figgy’s. Mais j’ai quand même longuement réfléchi avant de me lancer, car d’une part beaucoup des versions que j’avais vues semblaient assez amples, et d’autre part, la veste comporte des manches raglan.
Pour le premier souci, je me suis dit que je tentais ma chance, parce que je recherchais un rendu ample. Tout en sachant que je prenais un risque réel de raté.
Pour le deuxième, ma crainte était d’avoir des épaules bizarres, à cause de la raideur du matelassé sur du raglan. J’ai donc décidé de mixer la veste Nituna avec la veste récemment sortie d’Ivanne Soufflet. Je me suis dit que ça ferait une base fiable pour faire des emmanchures classiques, et que pour le reste je prendrai la forme de Nituna.
« Oh, mais tu avais dit que tu avais fini de prendre des photos !!! »
Au final, une fois les patrons imprimés, j’ai réalisé que Nituna avait des manches raglan qui faisaient une pince à l’épaule, et qui donc épouseraient bien la forme du corps, même a priori avec mon matelassé. Je suis donc restée sur Nituna dans son intégralité (tout en prenant toujours le risque que le résultat final soit un peu spécial).
J’ai choisi de ne pas doubler la veste, et de border de biais tous les bords pour la finition. J’ai suivi du coup l’option du patron qui propose une manière pour cacher toutes les coutures intérieures. Plusieurs coutures sont cachées par un biais cousu à plat par-dessus, ce qui l’aplatit en même temps que ça la cache.
Dans l’absolu, elle est donc réversible. L’autre côté est uni, écru et un peu moins pétillant. Elle ne l’a pas encore porté ainsi, mais il permettrait de l’associer à des tenues déjà suffisamment colorées. J’ai dans l’idée de faire une broderie abstraite sur le bas de l’envers, si je me motive assez je le ferai pendant mes vacances d’été 🙂
J’étais inquiète jusqu’à l’essayage. Mais le résultat me plaisait assez pour que j’accepte l’idée qu’en cas d’échec cuisant j’en ferai un élément décoratif dans mon atelier. Au final, le premier essayage n’a pas été desespérant. Mais la première sortie avec la veste portée m’a fait penser que tout de même, la veste était trop large. En fait, si j’avais un reproche à faire au patron, ce serait sur l’encolure, qui finalement est très ouverte, et qui laisse beaucoup la veste bouger. En plus, avec le poids du matelassé, et son volume, la capuche paraissait vraiment ample.
Je m’étais laissée réfléchir quelques temps pour finalement reprendre les coutures de côté (et sous les manches) d’1,5 cm (donc 3 cm au total) (ou 2 et 4 ? j’ai un doute…) Cela a été bien casse-pied, car toutes les coutures étaient bien sûr cachées sous du biais… Je me suis bien embêtée à découdre, d’autant plus que l’ordre de couture des biais ne correspondait pas à ce que je voulais reprendre (pour resserer sous les côtés il fallait en fait toucher à l’emmanchure…). Je n’ai du coup pas tout refait aussi joliment qu’au départ, il y a des raccords de biais moins nets, mais je n’étais plus très motivée à faire travailler mon découd-vite…
A noter que j’aurai mieux fait de reprendre un peu moins au passage de l’emmanchure…
Patron : Nituna de Figgy’s
Taille : 4/5 ans. (? j’ai un doute… mais la taille au-dessus c’est 6/7 ans…)
Matériel : matelassé Nani Iro de chez Miss Matatabi
biais écru : pressions blanc nacré (Prym, je crois)
Modifications : ampleur diminuée sur les côtés (1,5/2 cm repris à la couture)
pinces à la capuche
– J’ai également cousu des sortes de pinces sur la capuche, pour la faire tomber moins en arrière. Je devrai coudre ces pinces pour les plaquer, c’était d’ailleurs prévu, puis oublié…
– Si quelqu’un en doutait, la finition avec un biais, ce n’est pas très rapide…
– J’ai utilisé des pressions que j’avais en stock. Il se trouve que le blanc nacré allait assez bien, peut-être parce que certaines fleurs du tissu sont peintes d’argenté. Ce sont des pressions Prym, je crois que je les ai posées avec ma pince Kam.
Ma demoiselle a plutôt bien accepté cette couture. Si on omet le fait que c’est une veste et que globalement elle préférerait être en robe d’été toute l’année. Les jambes libres, les bras libres, c’est ce qu’elle aime 🙂
Elle est un jour revenue de l’école en me disant « maman, machin m’a dit que ma veste elle est bizarre… » « ah, et ça t’embête ? » « non, ça va… » Tant qu’elle vit bien mes excentricités, on dira que, en effet, ça va ! Et puis j’ai mentionné que le tissu était japonais, et ça a semblé être une information importante pour elle !
Je trouve moi qu’on n’est pas tout à fait dans ce que je cherchais. Mais l’encolure doit y être pour beaucoup, car l’ampleur, la grande capuche sont des points qui me conviennent. Je dirai donc que je suis un peu chiffonnée, mais que tout de même, la veste fait joli.
Dans l’idée, ce matelassé fait bon ménage avec une veste de printemps, je lui en ferai à nouveau une dans deux ou trois ans. Et je dois dire que je cherche un prétexte pour en faire une veste de printemps pour moi (bon, plus cette année ! et dans un autre coloris !)
Je vous dis à bientôt, mais les publications d’ici la fin du mois seront plus sporadiques. Juin est un mois chargé, et je risque d’avoir besoin de mon créneau blog quelques temps pour autre chose 🙂
Quoi qu’il en soit, bonne semaine !
Article de présentation : ici. .
Projet de janvier : ici. .
Je vais sûrement le répéter régulièrement, mais c’est tout de même par ça que je commence aujourd’hui : je suis très contente de ce projet. J’ai bien plus d’idées en tête que de temps pour les coudre, alors en finaliser certaines, faire des pièces nécessaires à ma garde-robe, c’est vraiment une chouette satisfaction. Et dans la foulée, je l’ai fait pour d’autres projets que ceux de la garde-robe capsule, ce qui en plus d’être satisfaisant, allège mon esprit de ce qu’il gardait dans un petit coin.
Bref, je continue avec plaisir, et me réjouis de la suite !
Pour le mois de février, j’avais choisi la catégorie lingerie, dans laquelle j’ai décidé de coudre un kimono (et ainsi laisser le soutien-gorge pour la catégorie maillot de bain).
J’aime beaucoup tout ce qui se rapporte aux kimonos, je pense d’ailleurs lister quelques patrons dans un article, à l’occasion. Mais celui du mois de février du magazine Seamwork l’an dernier, Almada, m’avait vraiment tapé dans l’oeil. De construction simple pour un résultat avec un petit truc bien à lui, j’avais trouvé ce patron très plaisant. Au point d’ailleurs d’acheter une double gaze pour le coudre, mais ça c’était le printemps dernier.
Entre le jeu des coutures de saison, des coutures qui passent en premier pour une raison ou une autre, ce projet-là est resté de côté. Et puis, peut-être, avais-je une toute petite déception quant au tissu : j’avais pensé, d’après les photos de présentation, commander un très beau gris foncé. En fait, on est plus dans une sorte de vert de gris. Le tissu reste joli, c’est un Nani Iro, du motif Fuccra que j’aime tant. Mais en gris foncé, il aurait eu quelque chose du plus.
Je l’ai signalé à la boutique, mais j’ai pu moi-même expérimenter la difficulté de photographier la couleur avec justesse, surtout quand l’étoffe est à la verticale. Vous apercevrez sur certaines photos portées un effet gris profond, qui du coup ne correspond pas à la réalité. La photo ci-dessus est donc celle qui transcrit le mieux la couleur réelle.
J’en suis vraiment très contente ; il a des défauts, dont je vous parlerai plus bas, mais il remplit tout à fait son contrat, il est agréable à porter, je me sens jolie dedans, et je le trouve joli à regarder. Les premiers jours, comme une gosse, j’en aurai presque dormi avec 😀
Et les cheveux en bataille sur les photos, c’est cadeau… Pourtant, ce ne sont pas des photos au saut du lit !
Patron : Alamada, de Seamwork
Taille : S et M
Matériel : double gaze Nani Iro, motif Fuccra, chez Miss Matatabi.
Passons aux points techniques :
– Pour le choix de la taille, j’ai fait une sorte de mélange entre le S et le M, on est un peu plus sur le S en haut et le M en bas. Etant donné l’aisance du modèle, c’était sûrement inutile, mais bon…
– Cette double gaze a une petite laize, mais je pouvais presque caser les pièces en double, alors j’ai un peu rogné sur les marges de couture. Le dos est du coup coupé au pli plutôt qu’en deux parties, et le devant a été coupé une fois en double (par contre j’ai utilisé le bord de la laize, avec l’inscription ; mais sur les Nani Iro, pour moi, ça fait presque partie du tissu 🙂 ).
– J’ai choisi de faire toutes les coutures intérieures en coutures anglaises : l’idée étant d’avoir une jolie finition, et des coutures durables, mais ça a tout de même l’inconvénient de faire des coutures plus épaisses (comme un certain nombre de finitions intérieures propres, d’ailleurs !). Disons qu’avec un tissu très fin, ç’aurait été différent, mais l’air de rien la double gaze a sa petite épaisseur. Sur un vêtement ajusté, en double gaze, je ne le ferai a priori pas.
– Pour les bracelets de manche, j’ai aussi changé le montage afin de cacher les marges de coutures, en repliant le bracelet sur l’envers et en le surpiquant (pareil, plus d’épaisseurs…).
– Et enfin, pour les bords devant, plutôt que de prendre un biais rabattu sur l’envers, j’ai fait un petit ourlet (comme pour l’ourlet du bas) : pas forcément la meilleure idée non plus, les courbes m’ont plus gênée que je ne le pensais, et certaines zones du tissu sont peintes et plus raides, ce qui compliquait un peu les choses. Mais au final mon bord devant ne gondole pas beaucoup plus que celui de la photo de présentation, alors je ne m’en plaint pas. (ah, et puis, j’ai fait quelques erreurs, donc il y a une ligne de couture de plus qu’il ne faudrait (v. ci-dessous)…)
– Toutes ces histoires de finitions, c’est presque à chaque fois le mieux qui est l’ennemi du bien : les instructions proposent d’entoiler si on le souhaite la ceinture et les bracelets de manches. J’ai cherché s’ils indiquaient si cela était fait dans le modèle de présentation en double gaze mais rien n’était précisé. Du coup, voulant bien faire (et surtout ayant déjà regretté ne pas l’avoir fait), j’ai entoilé tout ce petit monde. Eh bien ça n’a pas loupé, à peine le kimono essayé, j’ai décousu et recommencé cette ceinture vraiment trop raide. J’ai laissé les bracelets de manches ainsi, mais maitenant que je regarde les photos avec du recul, je trouve aussi qu’ils rebiquent de trop. Je ne suis pas motivée à la changer pour l’instant, alors je verrai avec le temps.
Donc, si vous cousez ce modèle en double gaze : n’entoilez pas !!! La matière n’est pas si fine que ça, la ceinture a déjà une tenue satisfaisante (et oui, mon entoilage était fin 😉
– Concernant la ceinture, je fais un noeud simple, parce que j’ai du mal avec l’effet noeud papillon, assez marqué avec ce tissu.
– Le patron le prévoit et je confirme que c’est utile : il faut un bouton pression pour maintenir le kimono en place. Je n’ai toujours pas pris la peine de le coudre, alors sur les photos j’ai mis une épingle à l’emplacement du bouton. Mais si on ne bloque pas les pans à cet endroit, les deux côtés s’ouvrent forcément.
Je termine en remarquant deux choses : le kimono se met mieux en place (et fait plus joli) sur une nuisette à bretelles que sur un vêtement de nuit à manches. Cela ira sans problème avec la venue du printemps, mais pour des températures intermédiaires comme en ce moment, je m’habille plus, et je dois donc prendre un peu la peine de placer les coutures d’épaules (du kimono) au bon endroit.
Et évidemment, d’ici l’automne prochain, il faudra que je trouve une alternative plus couvrante, au moins au niveau des bras. J’ai d’ailleurs vu quelque chose qui me parle vraiment beaucoup, le kimono Asaka de Named cousu en matelassé (par Eléonore Klein). J’ai le patron, et même de quoi le coudre, mais l’idée d’y rajouter un côté chaud et douillet est vraiment très bonne.
Je ne vous dit pas à ce week-end, car je n’aurai a priori pas le temps de faire un deuxième article 🙂 Alors en attendant le week-end suivant, je vous souhaite un bon début de mois de mars, c’est que ça commence tout doucement à sentir le printemps (enfin, je suppose que plus au sud et moins à l’est c’est un peu plus que tout doucement ! mais ici on émerge de l’hiver…).
A très bientôt !
A travers mes yeux de maman, ma fille est belle, en toute circonstance.
Je la trouve belle quoi qu’elle se mette sur le dos, j’ai parfois envie de dire que tout lui va bien.
Je la trouve belle quoi qu’elle se mette sur la tête, même si c’est une paire de collants – oui, ça arrive.
Je la trouve belle même quand elle ne porte rien d’autre qu’un parapluie – oui, c’est arrivé aussi, en été 🙂
Bref, mon petit coeur de maman vous dira que ma fille, elle a du style.
Et mes garçons me direz-vous, n’ont-ils pas droit à une déclaration d’amour ?
Eh bien mes garçons, c’est tout pareil, tout en étant très différent 🙂
Quand je couds pour ma fille, et que je rate un projet, du coup, les défauts me paraissent un peu atténués.
Alors c’est vrai, cette robe n’est pas totalement ratée.
Mais le jersey de viscose noir se détend trop, le haut manque de tenue.
L’emplacement de la jupe me gêne, il y a quelque chose dans les proportions, ou dans la position par rapport au corps, qui n’est pas équilibré.
La couture de la jupe, au niveau de l’épaisseur des côtés, n’est pas jolie ; j’ai beau faire, cet endroit supporte mal la surjeteuse…
Le Liberty est un peu léger, pour cette position de jupe, une mousseline rendrait mieux.
Et puis une petite doublure aurait peut-être aussi été bienvenue.
Bref, ma conclusion pour celle-ci a été, « peut mieux faire »…
Ce qui est dommage, en fait, car c’est un Liberty, et en plus le Liberty Betsy fluo thé. Je l’ai acheté il y a un moment, donc pas au prix où il se vend maintenant, mais je l’avais gardé précieusement, en attendant de trouver comment le valoriser au mieux pour ma fille…
J’ai songé à découdre, pour faire une variation mieux proportionnée et avec un autre jersey, mais j’ai demandé son avis à la demoiselle, et elle l’aime ainsi, donc je me réserve mon petit reste de coupon pour une variation de cette robe au printemps.
Cela dit, ce jour-là, elle a choisi de mettre la robe, et sa couronne de fleurs en papier de soie (montrée un jour sur Instagram, ici). J’ai trouvé que c’était une bonne association. J’ai trouvé qu’elle était belle 🙂 Et puis elle a dansé, entraînant de fait son petit frère à faire de même.
Alors j’ai fait fi de mon intérieur non épuré, j’ai fait avec le bazar que les enfants avaient mis pour délimiter un espace interdit aux parents, et j’en ai profité pour prendre quelques photos, puisqu’en hiver je ne trouve que peu d’occasions. Elle ne sont pas terribles, ces photos, alors j’y suis allé franco sur les filtres 🙂 mais on y devine la robe comme elle est !
Patron : robe Phoebe de Violette Field Threads
Taille : 5 ans
Matériel : jersey de viscose noir, marché aux tissus de Mulhouse
Liberty Betsy fluo thé, de chez Stragier, je crois
Modifications :
variation du patron dans laquelle la jupe est plus longue (et commence plus haut)
manches simples, et non ourlées car ma Poulette aime que ce soit très long,
alors après essayage elle ne veut plus que je raccourcisse, ces derniers temps.
Mes 3 premières coutures de la saison étaient la robe à fleurs, celle ci-dessus, et une autre pas encore photographiée. Aucune vraiment satisfaisante. Mais la couture suivante était une jupe, sur laquelle je n’ai pas grand chose à redire, si ce n’est que l’élastique ne reste pas à plat, malgré une couture de fixation sur les côtés (un conseil ??). Il s’agit d’une jupe cercle, faite pour des mesures standards en 5 ans. Le tissu est un Nani Iro de la collection automne-hiver, un coton-lin brossé que j’aime beaucoup.
Cette jupe lui va bien. Elle se froisse vite, peut-être, mais… c’est le jeu.
Elle va bien aussi avec sa veste rose, aussi parce qu’il y a de discrètes touches de rose nacré dans ce tissu.
Elle va bien avec le pull Julia (patron Compagnie M), pas encore blogué mais dont vous avez un aperçu ici.
Je regrette un peu qu’elle la porte si souvent sous le nombril, ce qui fausse un peu la façon dont la jupe se met ; je suppose que c’est un truc de confort pour ma fille, alors après tout… 🙂
Les photos, c’était en moins de 5 minutes, quand il ne faisait pas trop froid encore.
Les poses, c’était selon l’envie de la demoiselle.
Patron : patronné en taille 5 ans
jupe cercle et ceinture élastiquée
le bas de la jupe est fini par un biais rapporté.
Matériel : coton-lin motif Komorebi de Nani Iro, acheté chez Modes4u
biais du marché aux tissus de Mulhouse
La production automne-hiver de la Poulette continue, ici. Il y a déjà pas mal de T-shirts, un legging, une et bientôt 2 robes… Il faudrait que je m’attaque à un projet de short et de blouse que je repousse sans cesse, car comme ma fille, je suis plutôt robe et T-shirt 🙂 Mais je sais que je vais commencer par faire encore un ou deux projets de jupes ! Peut-être devrais-je faire un projet « jecoudsmagarderobecapsule » pour l’hiver de la Poulette, histoire de coudre un vêtement de chaque plutôt que toujours les mêmes !!
Je vous souhaite un bon week-end polaire, ici le vent du début de la semaine n’a pas chassé complètement la neige, et il est encore possible de luger dessus, voire de patiner 🙂
A bientôt !
Bienvenue !
