(… court)…(pardon, pour le titre… 🙂 )
Vous parler du temps qui passe si vite serait certainement assez banal… C’était à peine Noël qu’on arrive déjà en avril, bla bla bla… Que voulez-vous ma bonne dame, etc etc.
Il n’empêche que, comme je trouve que le temps s’échappe de manière incontrôlable, ce qui est stressant, cela soulève des questions que j’estime sérieuses. En l’occurrence, cela questionne ce que j’imagine être capable de faire en un temps donné (« ce sera fini fin février », ben voyons…) ; et donc la manière systématiquement erronée par laquelle j’évalue le temps que me prendra une tâche. Cela m’amène aussi à me demander comment est-ce que j’investis ce que je fais dans mes journées et mes semaines ; si j’y prête une attention active ou si je laisse les choses se dérouler un peu automatiquement…